…J’ai lu le livre du crépuscule de Belinda Cannone, un pur chef d’oeuvre d’amitié. Si, par les temps qui courent, quelque chose nous manque, c’est bien cette dimension qui fait que des êtres se rencontrent, se reconnaissent et se découvrent sans qu’aucune idée « romanesque » ne les traverse. Ici, rien n’est à cacher, nul autre conflit ne survient que l’inéluctable qui nous guette tous et cela est suffisant, quand je dis que cela est suffisant, je veux dire que ce récit est d’une nécessité absolue parce qu’il nous enseigne la fraternité qui est la pure matière de l’amitié, ce lien si fragile qu’il en devient immortel et se transmet par delà le temps.
Victor Cohen Hadria